GP de france

desoler je n est pas eu le temps le contrendu des essaies et qualif

Di Meglio a écrit une page de l'histoire de la moto française en devenant dimanche au Mans le premier Tricolore victorieux de son gp depuis 1982.
Mike Di Meglio a mis fin à 26 ans de disette hexagonale au Grand Prix de France, en remportant sous la pluie sa 2e victoire en 125 cc, dimanche sur le circuit Bugatti du Mans, devant le Britannique Bradley Smith et l'Espagnol Nicolas Terol. Le Toulousain, âgé de 20 ans, en profite aussi pour prendre la tête du classement général avec 74 points, devant Terol (66) et l'Italien Simone Corsi (62).
Di Meglio a parfaitement profité de l'interruption de la course par la pluie après 14 tours. Les coureurs sont alors rentrés au stand et la fin de course a été réduite à cinq tours, au lieu des 10 qu'il restait à courir. Reparti en 5e position, il a d'abord joué la prudence, alors que deux éphémères leaders, l'Espagnol Esteve Rabat et le Hongrois Gabor Talmacsi, champion du monde en titre, chutaient tour à tour. Di Meglio a alors accéléré passant en 2e, puis en 1re position en faisant l'intérieur à Smith à deux tours de l'arrivée.
"C'est magnifique!", a déclaré le vainqueur, pilote Derbi Ajo. "Je n'arrive pas à croire que j'ai gagné. Cela faisait des années qu'un Français n'avait pas gagné (le Grand prix de France; depuis 1982, ndlr). J'étais au paradis quand j'ai entendu la Marseillaise. C'est magique. J'ai eu quelques difficultés au départ avec les pneus. La moto n'allait pas très vite. Après, sous la pluie, je me suis vraiment amusé. J'avais un peu peur de tomber, mais j'ai bien géré cette fois."
Arrivé en 125cc en 2003, à tout juste 15 ans, il a toujours été à l'aise sous la pluie, à l'image de son premier podium conquis sur une piste humide en Grande-Bretagne en 2005. C'est également cette année-là qu'il avait remporté son seul et unique Grand Prix jusque-là en Turquie.
Ce succès était le dernier d'un pilote français, toutes catégories confondues. Et pour retrouver trace d'un succès hexagonal lors du Grand Prix de France, il fallait remonter à 1982. Jean-Claude Selini (125 cc), Jean-Louis Tournadre (250 cc) et Jean-François Baldé (350 cc) avaient alors réussi un triplé, mais la plupart des pilotes étrangers et têtes d'affiche avaient boycotté la course cette année-là, jugeant le circuit de Nogaro trop dangereux.

Cocorico, un francais a gagne

ouai sa faisait longtemp que lont avait pas entendu la marseillaise

En plus un Francais en France pas mal du tout

ouai dommage que ce n etait pas le 14 jullet sa aurait etait la total